Un sommet auquel participait le président Faure Gnassingbé.
Le plan et son budget, qui fait appel uniquement à des ressources internes, seront présentés en décembre lors du prochain sommet de la CEDEAO à Abuja mais l’argent qui sera versé dans un ‘pot commun’ servira notamment à ‘renforcer les capacités opérationnelles » des armées nationales ainsi que des forces conjointes’ comme le G5 Sahel ou la Force multinationale mixte du Bassin du lac Tchad.
Dans les conclusions du sommet, la CEDEAO réclame aux Nations Unies ‘un mandat plus offensif de la Minusma’, mandat qui ‘puisse permettre de lutter contre le terrorisme’
La CEDEAO va aussi solliciter la Banque mondiale et le FMI pour que les dépenses sécuritaires soient ‘considérés comme des investissements’ et solliciter les bailleurs de fonds occidentaux et arabes pour mieux lutter contre le jihadisme.
La CEDEAO ne veut pas qu’une réponse ‘militaire’, jugée nécessaire mais pas suffisante. Elle encourage un développement durable, inclusif et équitable.